Choisir entre votre animal de compagnie et votre beau canapé, il est inutile d’en arriver là. Il faut tout simplement protéger le mobilier. Il est tout à fait possible d’empêcher que votre canapé soit victime des mauvaises odeurs, de poils, de griffures, etc. Voici différents conseils à suivre pour maintenir l’éclat de ce mobilier même avec la boule de poils dans les parages.

Une protection pour votre canapé

La première chose que vous devez faire est de vous procurer une housse protectrice efficace. Que vous ayez un canapé convertible ou un modèle simple, il est toujours possible de trouver un équipement efficace pour mettre votre canapé à l’abri des griffures d’animaux. Vous pouvez choisir les housses dépendamment du style que vous souhaitez donner à la pièce. Vous pouvez choisir la couleur, le type de matière qui recouvre votre canapé. Préférez un équipement suffisamment épais pour éviter que les griffes de l’animal n’atteignent le revêtement de votre canapé.

Soyez ferme

Par ailleurs, vous devez également être très ferme avec votre chien ou chat. Surtout, s’il s’agit d’un canapé convertible. Puisqu’il s’agit d’un meuble 2-en-1, il sert d’assise durant la journée et de couchage durant la nuit. Votre animal peut penser qu’il s’agit d’un lit où il peut dormir. Là-dessus, vous devez l’éduquer à ne pas accéder au mobilier. L’idéal est d’être clair à ce sujet juste après l’adoption et de ne pas changer d’avis en cours de route.

Une protection supplémentaire

Pour une raison ou une autre, le chat et le chien peuvent ressentir le besoin de marquer leur territoire, surtout quand vous êtes absent de la maison. Lorsque vous êtes au travail ou êtes absent pour une durée plus longue que d’habitude, ajoutez une protection supplémentaire à votre canapé. Une bâche en plastique, du papier aluminium ou des scotchs double face, tout est bon pour dissuader votre boule de poils de considérer le canapé comme son territoire.

Des odeurs répulsives 

Vous pouvez également utiliser des produits dont l’odeur éloigne naturellement les boules de poils. Il s’agit entre autres du vinaigre blanc, du clou de girofle, du poivre, de la citronnelle, etc. Vous pouvez utiliser un spray ou alors mettre directement le produit sur le canapé. L’odeur dégoûte l’animal et l’éloigne du mobilier. C’est efficace à condition que vous ne soyez pas, vous aussi, répugné par l’odeur.

Réparez les dégâts sur le mobilier 

Si votre mobilier comporte quelques éraflures, réparez-le sans trop attendre. Si le chat ou le chien voit des déchirures, il peut être tenté d’y planter ses griffes. En revanche, un beau canapé dans un excellent état lui fera comprendre qu’il ne doit pas toucher au meuble.

L’arbre à chat et le griffoir loin du salon 

Vous devez également placer les jouets des chats et chiens loin de la pièce. L’arbre à chat, le griffoir, la litière, le coin dodo, etc. Tous ces équipements doivent être mis assez loin du salon. C’est la meilleure solution pour éloigner l’animal du canapé.

N’hésitez pas à éduquer votre animal 

Lorsque votre animal monte sur le canapé, n’hésitez pas à le corriger immédiatement. Dites-lui d’un « non » ferme et catégorique qu’il ne peut pas monter sur le mobilier. Si vous le laissez se reposer de temps en temps sur le canapé, même s’il ne fait rien, il considérera le canapé comme sa possession. Et un jour, il finira par y planter ses griffes ou par y faire ses besoins.

Optez pour le bon modèle de canapé 

Si vous avez des animaux de compagnie, choisissez le canapé en tenant compte de plusieurs critères. Outre le nombre de places, le confort de l’assise, l’esthétique, vous devez aussi tenir compte du revêtement. Assurez-vous que ce dernier soit assez robuste. Aussi, privilégiez les modèles qui ne retiennent pas facilement les poils.

Pour entretenir le côté convivial d’un living-room, il faut un beau canapé confortable. Vous n’êtes pas obligé de faire un choix entre vos animaux de compagnie et votre mobilier. Il faut juste vous assurer que ce dernier soit bien protégé par une housse. Par ailleurs, vous devez aussi empêcher votre animal de considérer le mobilier comme sa propriété.