Guide pour obtenir votre premier emploi

Une offre d’emploi conforme à la demande

L’observation que nous avons faite au village de l’emploi est celle de l’augmentation du taux de chômage sur le marché de l’emploi. Cette croissance négative est l’effet de plusieurs manques. Au rang de ces manques, se trouve le décalage entre l’offre et la demande. En effet, de plus en plus de personnes sont diplômées et se trouvent au chômage. Le constat du village de l’emploi révèle que plus le nombre de diplômés évolue, moins celui des offres d’emploi augmente. Quelles sont les causes de ce phénomène et comment y remédier ? Le village de l’emploi pour aider à trouver une solution appropriée à ce problème a établi une liste des causes de ce phénomène. Les causes établies sont donc une sorte de diagnostic servant de feuille de route à la résolution du problème en question. D’ailleurs, la mission du village de l’emploi consiste à remédier à ce déséquilibre en vous offrant une formation adaptée au métier de vos rêves. Ainsi pour votre premier emploi, vous auriez le beurre, l’argent du beurre, et même toute l’épicerie.

Les causes du décalage entre l’offre et la demande

Nombreuses sont les raisons pour lesquelles, l’offre est assez distante de la demande en matière d’emploi. En effet, les formations disponibles dans les universités et dans les écoles sont des formations qualifiées, riches en savoir et pleines de connaissances très intéressantes. Mais le réel problème sur le marché, ce n’est pas tant l’absence de formation ou la présence de formation non qualifiée.
Le problème, c’est le fait que le nombre de personnes qui s’intéressent à certains domaines dépasse pour la plupart le nombre d’employés nécessaire au développement de ces domaines sur le marché. C’est-à-dire que pour le domaine de l’administration publique par exemple, on a peut-être besoin sur le marché que d’environ cent mille employés par an. Tandis que les étudiants diplômés dans ce secteur en une année va jusqu’à deux millions sur le territoire tout entier. L’écart est déjà assez grand depuis la phase de la formation avant même d’être en face des défis sur le marché de l’emploi. En face d’une telle situation, le nombre de chômeurs ne peut qu’exploser. 
L’autre problème, c’est la réalisation de l’effet contraire à celui que ne venons de mentionner. Dans ce cas, le métier est disponible sur le marché. Les employeurs ont besoin de recruter de nouveaux employés. Mais malheureusement, les universités et les centres de formation ne forment pas suffisamment d’apprenants dans ce domaine. Ou encore, lorsque les employeurs rencontrent des diplômés effectivement qualifiés dans leur domaine, il leur manque de l’expérience. Or, les employeurs ne sont pas toujours prêts à leur fournir l’expérience nécessaire avant de les engager. Dans cet autre cas, c’est la demande qui est supérieure à l’offre, occasionnant ainsi un grand déséquilibre une fois de plus. Au final, nous retrouvons dans une situation de deux mille offres d’emploi disponible avec huit cent personnes diplômées et à peine cinq cent personnes engagées par an. Qu’il s’agisse en réalité de l’un ou l’autre cas, ne n’avons aucun intérêt, nous sortons toujours perdant. Pour remédier à ce grand déséquilibre, voici des pistes de solutions à emprunter.

Les solutions à mettre en oeuvre pour une offre conforme à la demande.

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Ce que nous proposons ne fera peut-être pas un effet de baguette magique. Toutefois, nous sommes persuadés que l’exploration de ses pistes de solutions arrangera progressivement les choses. Les résultats pourraient même être très satisfaisant. Nous proposons d’une part que le problème soit résolu depuis la racine c’est-à-dire depuis l’étape de
- L’orientation : il faut que l’orientation des apprenants se fasse désormais en considération des besoins sur le marché. La demande sur le terrain doit faire partir des principaux critères de l’orientation. En plus de chercher à savoir avec assurance les secteurs à forte demande au moment de votre formation, rassurez-vous que ce secteur soit toujours autant actif sur les dix, vingt ou trente années à venir. Essayez également d’avoir une idée sur le nombre de personnes déjà intéressé par le secteur en question afin de vous faire une idée précise. Une fois, toutes ces informations collectées, rassurez-vous d’avoir effectivement la qualité et le potentiel nécessaire à la réussite de vos études et de votre insertion professionnelle dans ce domaine. Si vous réussissez à rassembler la majorité de ces critères pendant votre orientation, vous avez déjà résolu le problème à mi-chemin, de votre côté.
- Les offres de formations
Ce qui dérange excessivement dans certaines situations, c’est l’insuffisance de mise à jour dans les formations. Les formations ne s’adaptent plus vraiment aux réalités du terrain à un moment donné. Il conviendrait dans ce cas de faire une mise à jour de programme au niveau des centres de formation afin de permettre aux apprenants de mettre plus tard à profit les connaissances qu’ils ont acquis. En matière de formation, les divers établissements devront également essayer d’associer plus d’expérience pratique et de stages d’appui à l’enseignement. Ceci permettra à l’étudiant de s’impliquer encore plus, d’explorer plus en profondeur l’univers du travail et de se préparer en conséquence. Parce qu’au final, ce dont on a effectivement besoin ce n’est pas uniquement la maîtrise des théories, des idéologies, des formules ou de postulats. Ce dont on a besoin, c’est de profiter du savoir-faire de étudiants à la suite de leur arrivée dans le secteur de l’emploi.


Conclusion

La mise en œuvre des éléments mentionnés dans ce support changera énormément les choses. Néanmoins, le travail personnel est le plus grand apport que nous puissions faire. On ne le dira jamais assez. Mais, quel que soit le secteur d’activité, le domaine d’exercices, on ne cesse jamais d’apprendre. Il est important de demeurer compétitif en ajoutant à ses anciennes connaissances, de nouvelles recherches. Le déséquilibre de l’offre par rapport à l’emploi est certes un problème collectif, mais il faut pouvoir tirer son épingle du jeu en se donnant le maximum de chance de s’en sortir. Et pour sur ce point, il n’y a rien de mieux que la compétence.

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